Le pays, célèbre pour ses terres noires particulièrement riches, devraient mener à bien cette année la privatisation de ses terres agricoles. Une perspective qui ouvre un marché immense aux investisseurs du monde entier, l'Ukraine étant appellée à devenir dans les annés à venir le nouveau grenier à céréales de l'Europe. Les groupes agricoles et agroalimentaires français ne s'y sont pas trompés et occupent d'ores et déjà le secteur. Ils ont reçu cette semaine le soutien du ministre français de l'Agriculture Michel Barnier, en visite officielle à Kiev. Paris a proposé à l'Ukraine sa coopération dans un processus de privatisation des terres à hauts risques.
Explications de Camille, samedi dernier sur RFI. A venir et plus longuement sur ce sujet, des papiers dans la presse francophone...
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